LA RÈGLE DE WOODEN
Le légendaire entraîneur de basketball de l’UCLA John Wooden a créé une règle intéressante. Chaque fois que l’un de ses joueurs marquait un panier, il devait souligner l’apport de celui qui l’y avait aidé. Lorsque Wooden entraînait des lycéens, l’un d’eux lui a demandé : « Entraîneur John, ça ne prendra pas trop de temps ? » Il lui a répondu : « Je ne vous demande pas d’aller vous jeter dans ses bras. Un hochement de tête suffira. »
BRILLEZ !
J’étais contrariée de constater qu’en dépit de tous les appels téléphoniques que j’avais faits, le lampadaire devant ma maison ne fonctionnait toujours pas. Étant donné que nous n’avons pas de trottoirs et que les lampadaires sont très éloignés les uns des autres, il importe que chaque lampadaire fonctionne afin d’éclairer l’obscurité. Je craignais de heurter un écolier en sortant de mon entrée très tôt le matin.
L’AMNÉSIE DES CARACTÈRES
Il semblerait que les jeunes Chinois commencent à oublier les caractères qui composent la magnifique calligraphie de leur langue traditionnelle. Certains nomment ce phénomène « amnésie des caractères ». L’emploi très fréquent des ordinateurs et des téléphones intelligents amène souvent à négliger l’écriture, si bien qu’il y a des gens qui ne se rappellent plus les caractères qu’ils ont appris durant l’enfance. Un jeune homme a dit : « Les gens n’écrivent plus rien à la main, sauf [leur] nom et leur adresse. »
UNE NOUVELLE RAISON D’ÊTRE
Un hôtel vieux de 60 ans au Kansas est en train d’être transformé en immeuble en copropriété. Un bateau rouillé amarré à Philadelphie est en train d’être restauré et sera peut-être transformé en hôtel ou en musée. Le Hangar 61, une oeuvre architecturale admirée à l’ancien aéroport de Stapleton, au Colorado, est en train d’être transformé en église. Chacune de ces structures avait une utilité précise qui n’est plus viable. Par contre, quelqu’un a vu en chacune une promesse et une nouvelle raison d’être.
VIDE-MOI !
Quelle conception pourrie ! » ai-je rogné en vidant la déchiqueteuse. Je suivais un bon conseil en déchi quetant des documents personnels, mais je ne parvenais pas à vider le contenant sans répandre des bandelettes de papier sur toute la moquette ! Un jour que je vidais les corbeilles et les poubelles, je me suis demandé si j’allais même me donner la peine de vider la déchiqueteuse puisqu’elle n’était qu’à demi pleine. Par contre, en mettant un petit sac de plastique sur le dessus et en la renversant, j’ai constaté à ma grande joie que pas un seul bout de papier n’était tombé par terre.
NUL AUTRE ESPOIR QUE DIEU
Dans son livre intitulé Through the Valley of the Kwai, l’officier écossais Ernest Gordon raconte les années qu’il a passées en tant que prisonnier de guerre durant la Seconde Guerre mondiale. L’homme de 1,88 m a alors souffert du paludisme, de la diphtérie, de la typhoïde, du béribéri, de la dysenterie et d’ulcères, sans compter que les gros travaux et…
PÉCHÉ CACHÉ
Chuck avait presque immobilisé sa voiture lorsqu’on l’a emboutie par-derrière et qu’il a subséquemment embouti le véhicule qui le précédait. Un son affolant et assourdissant lui a indiqué que d’autres véhicules s’étaient emboutis derrière lui.
Tandis que Chuck attendait là bien calmement, il a vu le véhicule directement derrière lui sortir du carambolage pour entrer dans la circulation. Cherchant manifestement…
FRUITS FRAIS
J’aime les vieilles photos qui paraissent souvent dans la rubrique nécrologique de notre journal local. Un jeune soldat souriant en uniforme et des paroles comme : 92 ans, il a combattu pour son pays durant la Seconde Guerre mondiale. Ou encore, une jeune femme aux yeux pétillants : 89 ans, elle a grandi dans une ferme du Kansas durant la Crise…
REVIENS À LA MAISON
Tandis qu’Amelia, 19 ans, patientait dans le cabinet de son médecin, elle a reconnu le cantique bien connu « Softly and Tenderly Jesus Is Calling » (Doucement et tendrement Jésus t’appelle) qui venait des haut-parleurs. Elle a souri en se remémorant les paroles. Un chant disant « les ombres se réunissent, les lits de mort arrivent » n’était toutefois peut-être…
SOUFFLE DE VIE
Dans son livre Life After Heart Surgery, David Burke explique comment il est passé à un cheveu de la mort. Dans son lit d’hôpital, après une deuxième opération à coeur ouvert, il s’est mis à souffrir beaucoup et à mal respirer. Se sentant glisser vers l’éternité, il a prié une dernière fois, en mettant sa confiance en Dieu et en…